Jean giono
Au lendemain de la guerre, Giono revient vers la littérature et écrit Colline, un roman publié en 1929. Dès lors, Giono abandonne son emploi et s’adonne complètement à l’écriture. En 1934, l’écrivain publie Le Chant du monde et, un an plus tard, Que ma joie demeure. Son expérience de la guerre l’a traumatisé et écrit par ailleurs des textes pacifistes qui lui vaudront d’être emprisonné en 1939 (il avait dénoncé la mobilisation).
En 1947, Un roi sans divertissement est publié. Quatre ans plus tard, en 1951, c’est son œuvre sans doute la plus connue qui est publiée : Le Hussard sur le toit, un roman qui évoque les péripéties d’un jeune colonel des hussards (le personnage Angelo Pardi) dans une Provence ravagée par le choléra.
Jean Giono est mort en octobre 1970 à Manosque.
Premiers poèmes
Conception: fin des années 1910 - début des années 1920.
Publication: Revue mensuelle La criée, Marseille, 1922-1923.
Ces poèmes sont reproduits dans le Bulletin de l'Association des amis de Jean Giono, no 2, Manosque, 1973.
Accompagné de la flûte
Conception: printemps-été 1923.
Publication: Éditions de l'Artisan, Cahier no 6, 1924.
Ces poèmes sont reproduits dans le Bulletin de l'Association des amis de Jean Giono, no 3, Manosque, 1974. On en trouvera certains réédités dans le volume Dans l'odeur des collines.
Écrits à l'époque où Giono est encore employé de banque, ces poèmes sont imprégnés d'un hellénisme bucolique, parfois un peu trop appliqué. On y trouve cependant déjà ces images qui marqueront le style de l'auteur.
Images d'un jour de pluie, et autres récits de jeunesse
Conception: années 20.
Publication: Paris, Éditions Philippe Auzou, 1987.
Cet