Kant et l'optimisme
Alors, ici, c'est aussi quelque chose qui est porté à chacun par une inclination immédiate. Malgré cela, c'est exactement ce qui fait qu'il n'y a aucun caractère moral dans cette anxiété que la plupart des Hommes prennent de leur vie. Mais supposons que des évènements tragiques ôtent à un Homme tout goût à la vie. De plus, supposons que cet homme s'accroche malgré tout à la vie, qu'il est très fort mentalement et qu'il ne veut pas se laisser abbatre par tout ces évènements. Alors sa décision aura un caractère moral, parce qu'il en aura décidé par lui même. Dans ce cas de figure, il n'y pas d'autres personnes que lui qui puissent prendre cette décision à sa …afficher plus de contenu…
Enfin, on peut agir selon une bienveillance constante. En somme, Kant nous présente une action soi disant morale. Dans un deuxième temps, de la ligne 4 à 11, nous parlerons du fait que certes, la bienveillance nous tourne vers autrui, à qui nous voulons du bien. Mais si c'est par inclination naturelle que nous sommes bienveillants, alors notre action, aussi bonne soit-elle, n'a aucune valeur morale. En outre, la bienveillance n'est pas toujours sans contrepartie. Elle peut être vu comme une forme d'égoïsme. Faire du bien à autrui, mais au final le faire pour soi. Dans un dernier temps, de la ligne 11 à 18, Kant nous parle de l'âme sombre d'une personne qui aime