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Certain jurais, en colère, et clamait haut et fort qu'un lache comme lui n'avais, de toute facon, rien a faire dans notre groupe. Moi j'avais juste de la peine, ca devais pas être evident a faire comme choix, et puis vivre jusqua la fin de sa vie, si celle ci n'etait pas deja fini entre les mains des allemand, en sachant qu'on a abandonné des hommes, des amis qui se souviendront de lui comme d'un lache. C'est pas simple.
Trois semaines s'ecoulères après le depart de Sawo, et vers 6h du matin, le plus vieux de notre groupe fut porter disparu a son tour. Ce ne fut pas une grande surprise pour l'ensemble d,'entre nous, nous pour la plus part deja remarquer son comportement lasse et etrange qui se faisait de plus en plus présent. Le soir même, Carl, un homme d'a peu près mon age vint vers moi, des cernes noires balafrait ses joues, et l'air complice il chuchota, une cigarette au coin des lèvres: "pourquoi on part pas nous aussi? Y'en a marre de toute cette souffrance,de tout ce sang et de l'horreur qui pèse sur tout nos lendemains. Tu rêves pas de resserer ton gosse dans tes bras toi? Si on reste ici on est juste bon a enterrer." Avait il tord? Je mentirais si je disais que oui. Me jeter sous un obus paraissait plus simple comme choix. Ma reponse fût negative et celui ci plissa les yeux face a ma reponse et siffla quelques injures banale d'une personne qui se sentait coupable.
Son depart me reveilla au beau milieu de la nuit, je le vis recupperer le peu de nourritures qu'il nous restait. Pris d'une rage soudaine je le suivis, sur quelques kilometres tentant de ne pas me faire remarquer