La finance contre l'économie
1. Le développement de la sphère financière engendre de nombreux risquent dans la société.
On assiste à une émergence de risque systémique dû à l’instabilité des changes et des taux d’intérêts. Le comportement des acteurs et la recherche de gains spéculatifs peuvent se traduire par une déconnexion entre la valeur des actifs sur les marchés financiers et leur rentabilité réelle.
En effet le taux d’intérêt joue un rôle déterminant, cependant lorsque ceux-ci sont supérieurs au taux de croissance nominal la sphère financière assèche l’économie réelle et la pousse dans la récession. Par ailleurs la hausse des taux augment le coût des déficits publics, diminuant les marges de manœuvre de la politique budgétaire.
De plus la finance agit aussi sur la croissance dû fait de son influence sur le niveau de la consommation des ménages. En effet la consommation des ménages est devenue de plus en plus sensible face à la situation des marchés financiers.
2. Le déplacement rapide des capitaux et la spéculation qui en découle sont à l'origine de nombreuses crises financières durant les années 1990 Le développement de la sphère financière est la conséquence du développement économique lié à la mondialisation et ce n’est pas fini : les entreprises doivent accéder à du financement moteur de la croissance. C’est donc ce monde financier en expansion qui réclame le plus une tutelle et un encadrement législatif.
Si au début le développement de la sphère financière fut un atout pour l’économie réelle, au fil du temps il est devenu un handicap majeur pour celle-ci.
En effet la sphère financière a engendrée une panique financière ce qui à pousser des chefs d'Etat à se réunir lors du G7 du 3 octobre dernier puis du sommet de la zone euro afin qu’ils puissent trouver une solution face au problème de la panique financière.
En effet une parade de nature a put calmer celle-ci en organisant de façon suffisamment coordonnée des plans massifs associant