La fête sportive
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Tout d'abord, on constate que la pratique de la violence existe entre joueurs. Comme le signale ascal Du ét dans son enquête: « Perception du "coup de boule" de Zidane par les collégiens» datant de 2007, Zinedine Zidane assène un coup de tête au footballeur italien en réponse à des insultes racistes et ce, sur le terrain durant le match. Cet acte violent a été jugé comme réponse à une violence morale. Ensuite, la violence vient également des supporters, présents lors des matchs dans les tribunes, venant défendre leurs équipes et leurs valeurs. photographie proposée, montre I~ passé au stade de Heysel en 1985 lors d'une finale de football. On lit sur les visages une peur~q.tJe,d9-~ OiSSe et une impuissance face à la situation, due à une poignée de hooligan~ trick Migno!, atteste dans son article intitulé «Le phénomène du hooliganisme» écrit en 1996, cet argument. Il signale même que les hooligans attaquent en dehors des stades pour perpétuer le cycle des vengeance~U .parle--également-d'engag·em@t:I ans une guerre ~ . iV. a ~'+1----, · Pôki51ii'ûr, il he au pas oublier de parler des sports dont les règles sont basées sur la violence. Cett notion~t le maître mot et la règle première. Comme il est expliqué dans l'article de ohann Heilbron et Maarten van Bottenburg s'intitulant « Gladiateurs du troisième millénaire» paru en 2009, c'est la violence pour elle-même qui est recherchée. Le~ combattants n'ont d'autre choix