la Guyane dans la seconde guerre mondiale
L'école devenait un laboratoire du nouvel ordre social, où toute pensée hostile au régime était exclue et bannie !
L'enseignement devenait un des piliers du nouveau système politico-administratif.
En exécution des ordres ministériels et des instructions du gouverneurs, on hissa le drapeau national tous les matins dans l'établissement d'enseignements .
Une personnalité militaire venait assister au lever du drapeau national, prononçait un discours dity-rambique à l'égard du régime, puis il faisait présenté les meilleurs élèves, qui était autorisés à former la garde d'honner autour du drapeau hisser, pour récompenser les bons élèves, la marine, avec l'accord des parents, leur offraits une promenade en mer sur un de ses batîments ou prétait à l'établissement des films qui retraçais ces épopée de la grande guerre. L'un des soucis majeur du gouvernement était d'accroitre les qualités physique et morales des jeunes scolariée et en suppriment les heures de dessin. Au collège, renforcer les horraires consacrée à l'apprentissage du travail manuel, qui passa de trois heures à cinq heures pour les garçons.
Les filles voyaient de leur côtés les informations aux tâches ménagères et domestique telle que la couture, passé également de trois heures à cinq heures.
L'administration observé que c'était des enfants qui était défectueux en raison d'une nourriture insuffisante, que leur vêtements étaient peu convenable d'ou de nombreuse absence durant la période scolaire. Au cour de la semaine pédagogique qui à eu lieu le lundi 8 au samedi 13 1941, l'un des orateurs donna des directives au enseignants quant à leur rôle dans la Révolution nationale.
(Une circulaire) du 6 décembre 1941 rapela à l'ordre des fonctionnaires qui, d'une façon ou d'une autre, s'opposaient à l'action des maires, ce qui ( ) préposition particulière de gestionnaire ou d'administrateur.