La peur
Plan de la dissertation :
INTRODUCTION :
Sujet amené : la peur est un sentiment inné chez l’homme et qui demeureras toujours.
Sujet posé : Dans l’œuvre de Jean-Charles Harvey, il est question d’une idée de libération chez l’homme.
Sujet divisé : La peur mène à la soumission tandis que l’action permet la libération.
PARTIE À DÉVELOPPEMENT :
Idée principale 1 : la peur mène au contrôle (soumission)
Idée secondaire 1 (voir page 24 à 30) : La peur est ce qui fait figer les hommes. La peur combiné au mensonge mène à un pouvoir de totalitarisme. C’est la masse (majorité de la population) qui est contrôlé par une plus petite partie. Elle a peur de l’inconnue.
Idée secondaire 2 (voir page 35 à 41) : le Canadian Français est dans un régime totalitaire clérical. L’utilisation de cette valeur première, qui est la religion, donne un pouvoir quasi omniprésent. En somme, se pouvoir est un État dans l’État.
Transition/mini conclusion vers la deuxième idée principale : bien que la peur peut nous enseigner des leçons dans la vie, il n’est pas à exclure qu’il vaut mieux les affronter.
Idée principale 2 : aller au-devant de cette peur ( AUDACE (ACTION) + JEUNESSE = la libération de l’homme face à l’État clérical.
Idée secondaire 1 (voir page 26) : il faut de la bravoure au combat. Donc il faut vaincre ses peurs, car la vie est perpétuel combat où l’enjeu se résume en deux choix se soumettre ou s’opposé. Tous ceux qui se sont opposés risquaient parfois gros, mais devenait plus fort.
Idée secondaire 2 (voir page 52 à 58) : les idées des gens sont nombreuses, mais leur volonté de faire est absente. Pourtant monsieur Harvey est confiance qu’il ne suffit que d’une personne pour que le changement ait lieu. Il s’inspire d’ailleurs de Roosevelt pour ce qu’il s’agit de la libération.
Conclusion :
La peur peut donc être utilisée à de mauvaise fin pour en venir à un contrôle quasi absolu. C’est de