La vie de rêve
Le courant Fantastique est un courant né au 18e siècle, qui a u goût très profond pour le surnaturel. Tout comme le démontre le Horla, qui est une nouvelle écrite par Guy de Maupassant en 1887. Il présente son œuvre sous forme de journal inachevé qui nous laisse douté que son propriétaire se serait suicidé ayant comme motif la folie. Cependant, pour arriver à ce doute, Guy de Maupassant a l’habileté de nous préparer implicitement à la folie de l’auteur du journal.
SP
Nous analyserons comment ce passage du journal, soit « La journée du 25 mai » insinue le fantastique sous forme de « l’angoissante dévoration intérieur ». C’est-à-dire, par quels moyens est ce que l’auteur nous prépare le terrain à sa folie.
SD :
Pour y parvenir, nous analyserons l’angoisse ressentie par l’auteur du journal ainsi que la confiance que nous lui accordons notre confiance quant à sa santé mentale ce qui permet une éventuelle apparition du doute.
DÉVELOPPEMENT
Idée principale 1
Lors de ce passage l’auteur nous démontre qu’il vie une forme d’angoisse.
Énoncer le sous thème 1.1
L’auteur souffre de malaise psychique.
Citation 1.2
« Je ne le sens pas venir, comme autrefois, ce sommeil perfide, caché près de moi, qui me guette, qui va me saisir par la tête, me fermer les yeux, m’anéantir »
Expliquer les citations 1.3
L’auteur éprouve une inquiétude vis-à-vis du sommeil. Il a peur et utilise même la personnification de celui-ci pour bien nous faire comprendre ses craintes que son sommeil ne l’anéantisse. Il le sent près de lui et va même plus loin lorsqu’il décrit le sommeil comme un prédateur à la recherche d’une proie.
Énoncer le sous thème 1.1
L’auteur souffre de malaise physique.
Citation 1.2
‘’ Je le sens et je le sais […] me prend le cou entre ses mains et serre …serre…de toute sa force pour m’étrangler »
Expliquer les citations 1.3
L’auteur ressens une douleur telle un étranglement au niveau du cou. Il n’arrive plus à respirer, il sent que quelqu’un