On peut d’abord partir d’une définition du mot « citoyen»: Homme qui appartient à une cité qui possède des droits et qui se sent partie prenante du pays où il vit. On va aussi définir l’ «État» : La manière d’être des personnes vivant en société. Cette dernière se maintient et évolue en suivant des règles qui s’imposent aux individus, qui en assurent le respect. Lorsqu’un citoyen n’obéit pas à l’État, plusieurs conséquences négatives peuvent avoir lieu. Une liberté ne possédant aucunes limites peut être atteinte. D’autant plus, la justice sera très difficile à acquérir.
Par définition, l’État représente la volonté générale de son peuple. Les citoyens s’engagent pour obtenir le bien commun que leur apporte l’État. Il s’agit donc d’un engagement de tous à l’égard de tous. Les hommes ne se soumettent donc pas à une personne ou un groupe de personne en particulier, mais à la volonté générale, qui est représentée par l’État. Cette dernière est composée de la volonté de chaque individu. Elle représente l’engagement de tous. L’Homme créera des lois civiles et s’y soumettra volontairement. Les citoyens sont donc libres et autonomes. Rien ne leur est imposé. Je tiens la même position que Rousseau à propos du citoyen. Il ne peut pas connaitre sa propre volonté qu’en connaissant la volonté générale. L’homme n’a de volonté qu’au travers de la volonté générale. Ainsi, en obéissant à l’État, les citoyens s’assurent que la volonté de tous est respectée. Le citoyen est un membre de la communauté.
Il doit s’impliquer dans sa société et faire part de ses volontés, en pensant au bien commun. Aucun individu ne peut entreprendre des décisions seul. L’État se fonde sur la volonté générale, et donc de la volonté de tous.
L’homme n’est pas à son état de nature, il vit dans une société. Je soutiens Hobbes que l'état de nature est un état de guerre de chacun contre chacun. L'homme est un loup pour l’autre homme. Hobbes décrit l'état de nature à l’aide d’un paradoxe. Il dit que c'est