Dans la comédie le barbier de Séville de Beaumarchais, au début de la scène 2, on découvre Figaro comme un farceur de place publique qui griffonne une chanson avec sa guitare sur lui, en espérant que celle-ci soit aussi connu que les œuvres de Mozart ou de Beethoven. Par la suite, il rencontre son ancien maître, le Comte Almaviva qui considère son ancien serviteur comme une vieille connaissance qu’il ne veut tarder à voir. Mais, Figaro étant bien bavard, laisse entendre à l’oreille du comte que Figaro pourrait lui être très utile pour lui se rapprocher de sa bien aimé. C’est alors que le comte finit par écouter très attentivement Figaro, qui lui ayant compris l’intérêt soudain du comte, se vanter. C’est ainsi que Figaro se met en avant, parait pédant, fait le prétentieux, se donne une grande importance, raconte des périodes de sa vie exagérément… Mais Figaro est peut-être menteur, mais il est aussi très malin, et très rusé. En effet, il arrive à soutirer au comte, après avoir fait le travail que son ancien maître lui demande, beaucoup d’or. Il lui demande en mettant en avant son savoir. Ce savoir qu’il a de faire de la poésie, entre autre des rimes et des alexandrins. Il essaie de manipuler le comte pour lui soutirer au plus de l’argent, ce qui le qualifie bien d’ancien serviteur qui est toujours à la recherche d’argent, et non pas un homme riche qui n’en aurait que faire d’un peu d’or. Mais Figaro combien un peu son ancienne vie de serviteur et sa nouvelle de poète, ce qui lui donne une façon de parler parfois étrange en utilisant des énumérations et même une métaphore: « La république des lettres est celle des loups […] ce risible acharnement […] conduit tous les insectes, les moustiques, les cousins, les critiques, les maringouins, les envieux, les feuillistes, les libraires, les censeurs, et tous ce qui s’attache à la peau des malheureux gens de lettres, achevait de déchiqueter et de sucer le peu de substances qui leur rester. » Figaro nous fais penser, par