Le beau ne fleurit que sur l'utile
Depuis l’antiquite, des philosophes ont cherche a determiner le beau ( avant tout dans le domaine de beaux-arts). Pour les savants grecs etait beau qui incarnait un type ideal. La modernite aborde ce probleme a travers la dimension de l’experience subjective. De l’autre cote , l’utile etait considere comme un moyen pour parvenir a une fin, concernant un certain interet, associe a l’idee de desir. Volontiers, on oppose ces deux concepts l’un a l’autre. La citation d’Alain constitue /... donc une sorte de provocation/jeu. Il met en cause/envisage le probleme/ la question de reunir ces deux termes. On s’interesse a la possibilite d’une entente ou a l’eventualite de l’harmonie entre le beau et l’utile qui, en realite, visent la meme fin.
1. Premierement, l’art trouve sa fin en lui-meme. Il n’y a aucune intention particuliere dans le domaine de beaux-arts . L’utilite de la poesie, la peinture ou d’un autre ‘branche’ artistique est tres discutable. L’art trouve sa fin en lui-meme et non pas en vue de quelque chose d’exterieur a lui-meme. Il vise sa propre beaute , sans aucun interet . exemple : Cette definition s’exprime dans la theorie de l’art pour l’art. Pour les parnassiens, celui ci est utile parce qu’il est art ; rien n’importe si ce n’est l’art. C’est pourquoi les poètes parnassiens se sont toujours trouvés du côté de l’absolue gratuité de l’œuvre. C’est donc ainsi qu’ils refusent de s’engager dans des causes sociales ou dans des causes politiques qu’ils pourraient laisser transparaître dans leurs écrits. De plus, le parnassien voue un véritable culte de l’art fondé sur l’érudition et la maîtrise des différentes techniques qui ne pourrait être accessible qu’à une élite culturelle et universitaire capable de la recevoir.
2.De la definition commune le beau et l’utile s’excluent. Ainsi, le beau est definit comme un plaisir