Le bonheur
Dans son œuvre « L’euphorie perpétuelle », Pascal Bruckner nous fait part de ses réflexions sur l’idée du « Bonheur ».
Du temps des Lumières à nos jours, l’idée du bonheur à beaucoup évoluée. Ainsi, elle passera de droit à devoir envers soi-même. Face à cet impératif une question se pose à savoir si on est réellement heureux ? A travers cette citation, Bruckner dégage (ou émet ?) deux principales idées : dans un premier temps l’incertitude qui règne sur l’authenticité du bonheur que l’on vit. C’est alors que cette incertitude provoque un questionnement. Ce qui nous amène à la deuxième idée qui est que le simple fait de se poser des questions sur notre bonheur, c’est déjà donner une réponse défavorable.
Du temps des Lumières à nos jours, l’idée du bonheur à beaucoup évoluée. Ainsi, elle passera de droit à devoir envers soi-même. Face à cet impératif une question se pose à savoir si on est réellement heureux ? A travers cette citation, Bruckner dégage (ou émet ?) deux principales idées : dans un premier temps l’incertitude qui règne sur l’authenticité du bonheur que l’on vit. C’est alors que cette incertitude provoque un questionnement. Ce qui nous amène à la deuxième idée qui est que le simple fait de se poser des questions sur notre bonheur, c’est déjà donner une réponse défavorable.
Du temps des Lumières à nos jours, l’idée du bonheur à beaucoup évoluée. Ainsi, elle passera de droit à devoir envers soi-même. Face à cet impératif une question se pose à savoir si on est réellement heureux ? A travers cette citation, Bruckner dégage (ou émet ?) deux principales idées : dans un premier temps l’incertitude qui règne sur l’authenticité du bonheur que l’on vit. C’est alors que cette incertitude provoque un questionnement. Ce qui nous amène à la deuxième idée qui est que le simple fait de se poser des questions sur notre bonheur, c’est déjà donner une réponse