Le lyrisme
Introduction
Le lyrisme apparaît en France, au Moyen-âge, à travers une myriade de formes associant le plus souvent au poème la musique et la danse : chansons de toile, pastourelles, sérénades, ballades, tournois, tensons, lais et virelais fleurissent dans le chant des trouvères et des troubadours. Bernard de Ventadour (1150-1200), Richard Cœur-de-lion (1157-1199) et Thibaut de Champagne (1201-1253) comptent parmi les nombreux représentants de ce lyrisme ancien. L’amour courtois est alors le thème dominant des œuvres de l’époque, qui se partagent entre intimité et virtuosité. C’est dans la seconde moitié du XIIIème siècle, notamment avec Rutebeuf, que le lyrisme change littéralement de contexte. Au XVème siècle, Charles d’Orléans et François Villon imposent deux voix mélancoliques aux accents plus résolument personnels, l’une précieuse et nourrie d’allégories, l’autre mobile, instable.
Donc le lyrisme, désigne, dans toutes les œuvres littéraires des poètes que nous venons de cité, l’enthousiasme, l’inspiration, l’élan des sentiments personnels, qui sont les éléments spéciaux de la poésie lyrique. On peut aussi faire le rapprochement avec la lyre étant l’instrument de musique par excellence (d’Apollon, d’Orphée), lyrisme désigne tout aussi bien, en musique, l’art du chant (vocal, mais également instrumental). On peut dire que le lyrisme a une place très importante dans l’art et la poésie française elle marque un tournent essentiel de la poésie au Moyen-âge.
Auteurs important.
De Corneille à Racine, passant par Fénelon jusqu'à Jean-Jacques Rousseau ou Georges Sand. Tous inclut le lyrisme dans leurs œuvres littéraires ou théâtrales, ce qui leurs a donner une impulsion dans leurs carrière de dramaturge.
L’un des auteurs important influencé par le lyrisme et qui la fait connaitre est Corneille en mettant un rythme particulier comme dans les pièces du Cid et Polyeucte. En effet il est l’un des premiers à incorporer le lyrisme dans le