Rédiger l’introduction du commentaire écrit du texte le 16/12 LA FONTAINE, Fables , VIII, 4, « Le Pouvoir des Fables » Jean de La Fontaine, célèbre poète du 17ème siècle, est principalement reconnu pour ses Fables : il est considéré comme le plus grand fabuliste français : il a écrit en tout 250 fables.S’inspirant des fabulistes de l’Antiquité gréco-latine, il reprend souvent des personnages de la mythologie ainsi que des lieux, tels que Athènes, pour situer …afficher plus de contenu…

» est directe : le peuple pose la question directement à l’orateur. Dans « Que ne demandez-vous pas ce que Philippe fit ? », l’interrogation est partielle : telle une question rhétorique, on ne peut réellement y répondre puisque aucune réponse n’est vraiment attendue.« Le vent emporta tout ; personne ne s’émut ». De quelle façon ces 2 phrases s’enchaînent-elles ? Transformer cela par de la coordination.- Les phrases « Le vent emporta tout ; personne ne s’émut » s’enchaînent par juxtaposition. Pour transformer cela en coordination, il faudrait remplacer le point virgule par un terme marquant l’union entre ces phrases, par exemple «et ».Analysez la négation dans « personne ne s’émut »- La négation dans « personne ne s’émut » est totale, car elle nie la phrase entière : personne sans …afficher plus de contenu…

Cela permet de nous situer dans le temps et dans l’espace.« peuple vain et léger », v.34 « patrie en danger » v.35Rime entre « léger » et « danger »Le peuple a besoin d’aide, l’Orateur souhaite les sauver« art tyrannique », v.36« forcer les cœurs », v.37« parla fortement », v.38« figures violentes », v.40Champ lexical de l’autoritéL’Orateur force sa parole, il tient à se faire entendre par tous les moyens possibles« on ne l’écoutait pas », v.39« les âmes les plus lentes »,v.41« les morts », v.42+ vers longs ( en majorité des alexandrins)Comparaison Malgré son dévouement, le peuple reste indifférent. Il est comparé aux morts, donc à des êtres qui ne pensent pas et n’écoutent pas. La longueur des vers transmet cet ennui au lecteur.« L’animal aux têtes frivoles », v.44AnimalisationLe poète fait ici référence à l’Antiquité