Lecture analytique senghor ny
I. Des rapports très ambigus entre le poète et la ville mythique.
a) Un éblouissement initial.
Ch lexical de la lumière : "or" (v1), "soleil" (v4), "lumière" (v5) = éblouissement du poète.
Ch lexical métaux : "or" (v1), "métal" (v2), "acier" (v6) = modernité
"New York !" = entré vive et direct en matière
"les têtes foudroient le ciel" -> Dieu + gratte-ciel en masse, personnification de la ville "ta beauté", ch lexical du corps humain + nbr pronom possesif + pronom adj démonstratif, Rime avec soleil et gratte-ciel comme si on touchait le ciel
Anaphore du "si timide" -< assonance = insistance.
Ch lexical de la beauté féminine mais la beauté blanche en particulier
Structure accumulative du txt "et", les choses s'ajoute.
b)Regard + lucide au bout de la 3ème semaine.
Anaphore qui insiste sur la négation " pas un", abs de la vie et des sentiments.
Ch lexical de la mort / maladie
"Les têtes foudroient le ciel" orgeuil de la ville (v5), "les grattes-ciels" -> éclipese + défis les cyclones
Dénonciation de l'artifice, de l'abs de nature "coeur artificiel", les habitants ne semblent pas naturel : (2) -> froid
Chiasme (v12) + allitération en -S = sueur + odeur espèce de rimes (homéotéleutes)+3 négations = vie impossible, abs de vie et de nature.
II. L'ambivalence souligne l'antagonnisme entre afrique et Occident.
a) Les respects de la nature.
Pas de respectà Manatthan -> personnification de la nature, impression de froideur.
Retour à la négation + oiseau qui tombe = la vie semble ne pas exister.
b) Le respect du à l'homme.
Mana ignone l'humain : disparition du "je" (v1) puis le poete disparait. + thème de l'argent et de l'artifice, les seniments disparraissent.
Dans la 2eme partie du poeme : l'homme réapparait.
III. Appel à la confrontation.
a) NY provoque l'angoisse.
-éclipse de la lumière = chouette -> animal nocture + insomnie = angoissant ( intensifié par le bruit )
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