Les fleurs du mal
Charles Baudelaire (1821-1867) est un poète du symbolisme et comme tous les poètes de ce courant, le symbole est primordial car c’est ce qui leur permet d’amalgamer le réel et le matériel pour transporter leurs sentiments et leurs idées. Baudelaire a écrit plusieurs poèmes dont plusieurs se retrouvent dans le recueil Les fleurs du mal qu’il a publié en 1857. Parmi les nombreux poèmes qui se retrouvent dans ce recueil de poésie, Baudelaire perçois les femmes comme quelque chose de complexe dans leur simplicité, tout comme l’auteur Johann Wolfgang perçois les idées telle que la beauté et la laideur comme quelques choses d’égale en soi même. Pour ce faire, Baudelaire présente la femme comme étant idéal mais à la fois ombreuse.
Baudelaire interprète les femmes d’une manière compliquer et simple à la fois. Tout d’abord, Baudelaire fait ressortir dans ses poèmes cette perception des choses en faisant sortir des laideurs dans les plus belles femmes. Comme par exemple, dans le poème destruction, Baudelaire compare la femme avec le démon. « Parfois il prend, sachant mon grand amour de l’Art, La forme de la plus séduisante des femmes.» (Baudelaire, Les fleurs du mal, p.149) Dans cette citation, le Démon, qui représente évidement le mal, fait désirer à l’homme la femme. Il veut mettre en évidence la beauté de la femme en utilisant ces mots : «la plus séduisante» pour mettre en évidence la beauté et montrer que même la plus belle des femmes aura toujours au fond d’elle de la méchanceté et un coté noir, qui est représenté ici par l’image du démon. Ensuite, Baudelaire fait sortir le coté sombre même dans les meilleurs femmes. Par exemple, dans le poème les petites vieilles, d’où cette citation : « Épopine Ou Laïs ! Monstres brisés, bossus Ou tordus, aimons-les! Ce sont encor des âmes. » (Baudelaire, Les fleurs du mal, p.119) Encore une fois, Baudelaire décrits les femmes comme étant tous des