Les principaux risques auxquels une attention particulière doit être accordée sont ceux ayant de très grandes probabilités de survenir. en effet l’absence de financement est un risque assez important à gérer. on suppose
Une ville flottante
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Jules Verne
Une ville flottante roman La Bibliothèque électronique du Québec Collection À tous les vents Volume 7 : version 1.02
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Du même auteur, à la Bibliothèque : Famille-sans-nom Le pays des fourrures Un drame au Mexique, et autres nouvelles Docteur Ox La maison à vapeur Maître du monde Les tribulations d’un Chinois en Chine Michel Strogoff Sans dessus dessous L’Archipel en feu Les Indes noires Le chemin de France Le village aérien L’école des Robinsons César Cascabel Le pilote du Danube Hector Servadac Mathias Sandorf Le sphinx des glaces Les cinq cent millions de la Bégum Un billet de loterie Le Chancellor Face au drapeau Le Rayon-Vert La Jangada L’île mystérieuse
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Le 18 mars 1867, j’arrivais à Liverpool. Le Great Eastern devait partir quelques jours après pour New York, et je venais prendre passage à son bord. Voyage d’amateur, rien de plus. Une traversée de l’Atlantique sur ce gigantesque bateau me tentait. Par occasion, je comptais visiter le North-Amérique, mais accessoirement. Le Great Eastern d’abord. Le pays célébré par Cooper ensuite. En effet, ce steamship est un chef-d’œuvre de construction navale. C’est plus qu’un vaisseau, c’est une ville flottante, un morceau de comté, détaché du sol anglais, qui, après avoir traversé la mer, va se souder au continent américain. Je me figurais cette masse énorme emportée sur les flots, sa lutte contre les vents qu’elle défie, son audace devant la mer impuissante, son indifférence à la lame, sa stabilité au milieu de cet élément qui secoue comme des chaloupes les Warriors et les
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Solférinos. Mais mon imagination s’était arrêtée en deçà. Toutes ces choses, je les vis pendant cette traversée, et bien d’autres encore qui ne sont plus du Domaine maritime. Si le Great Eastern n’est pas seulement une machine nautique, si c’est un microcosme et s’il emporte un monde avec lui, un observateur ne s’étonnera pas d’y rencontrer, comme sur un plus