Les écoles libérales
L’école de l’offre:
Théorie de la dépenses publiques et taux imposition: elle affirme que la part que prend l’Etat compromet celui du dynamisme économique. Elle est en contradiction avec la théorie de Says.
L’intervention de l’Eta est très critiqué, notamment pour son intervention dans les dépense publique. Les dépenses publiques prennent la place des dépenses privée or ceux-ci sont jugées plus efficaces puisqu’ils doivent faire face à la concurrence du marché .
L’Etat à un besoin indéfinie de se financier d’où l’augmentation des ponction fiscale .
Conséquence :
Risque du ralentissement de l’activité économique et de la croissance puisque l’on est moins incité à travailler .
On constate de plus en plus du travail au noir et une évasion vers les paradis fiscaux .
L’épargne privée risque de baisser si le capital est trop élevé . Il va s’en suivre alors une baisse des recettes fiscales ainsi qu’une baisse du nombre de contribuable .(voir graphique)
Taux d’imposition optimal :
Il existe un paradoxe : le taux d’imposition peut entraîner une baisse des recettes fiscales . Il ne doit pas dépasser un certain taux optimal d’imposition . Il doit être compatible avec les investissements et les rentrées fiscales les plus fortes .
Exemple : le bouclier fiscale .
Réforme fiscale proposée
Les contributions fiscales augmentent avec le revenue . Pour les libéraux les hauts salaires sont synonyme de talent individuel et d’initiative . Ceux-ci sont créateur de richesse , d’emploi , d’investissement et d’épargne .
Dans les années 80 à 90 les réformes fiscales ont diminué les nombres de tranche d’imposition , baissé la progressivité et baissé la fiscalité des sociétés . Cette théorie a été mise en place sous l’air Reagan mais elle n’a pas eu l’effet attendu puisque le déficit budgétaire et l’endettement de l’Etat a augmenté . La relance a suivi le schéma keynésien sur la théorie de la demande . On a pu constater que les inégalités de