lettre de motivation
NOTE : OBSERVATION :
Comme on a pu le voir dans le cours, Menon affirme qu'il « existe une multitude de définitions de vertus et que Socrate et ce premier ne sont donc pas embarrassé pour définir la vertu. Menon répond à Socrate qu’il y a une vertu des enfants, des hommes libres, propres aux femmes et aux vieillards. Socrate lui reproche à cette première définition de ne pas donner la forme caractéristique de la vertu qui est identique à toutes les personnes sans exception. Pour Socrate l’idée de la vertu, tous les êtres humains qui sont des êtres bons, sont de la même façon puisque c’est grâce à des qualités identiques qu’ils deviennent bons. Menon répond à Socrate que selon lui la vertu est la capacité de commander les Hommes, Socrate lui reproche que cette définition n’est pas générale car elle ne convient pas aux esclaves. Autre part, commander sans cohérence ne fait pas de celui qui commande un homme vertueux Menon ajoute à cette définition qu’il faut savoir commander aux hommes avec justice. Mais Socrate soulève un problème : la justice est seulement une partie de la vertu, ou la justice représente toute les vertus. Ce qui revient à définir la vertu par la justice, soit, comme précédemment, par l'une de ses parties ou formes particulières. Menon parle ensuite des belles choses : l’Or, l’Argent et les Hommes font partie des choses désirables. Socrate lui demande si ces belles choses sont acquises avec justice ou injustice ?
Menon est reproché de ne pas être capable de définir la vertu commune à toutes.
Le poisson-torpille : il s’agit en fait d’une raie, qui produit de la bioélectricité et est ainsi capable d’envoyer des décharges électriques assez fortes, qui peuvent paralyser sa proie.
Menon exprime dans cet extrait, son embarras, c'est à dire son impuissance à affirmer désormais quoi que soit concernant la vertu ; d'assuré qu'il était au départ de connaître celle ci, le voici en effet « tout rempli