Lois de mendel et morgan en génétique
Transmission chromosomique de l’hérédité
Lois de Mendel – expérience de Morgan - complémentarité
Lois de Mendel :
Croisement de 2 souches pures (homozygotes) de pois.
L’une lisse, l’autre ridée.
La première génération F1 est uniforme et ne donne que des individus Lisses. Cela permet de déterminer le caractère dominant (ici : lisse)
La seconde génération F2 est obtenue par croisement de 2 individus F1.
On obtient : * ¾ de pois lisses * ¼ de pois ridés.
On voit ici réapparaitre le caractère récessif ridé.
Nous avons donc en F2 : * 1 homozygote lisse – lisse * 2 hétérozygotes lisse – ridé (lisse étant dominant nous avons 2 phénotypes « Lisse ») * 1 hétérozygote ridé – ridé (2 récessifs)
La représentation ci contre permet de visualiser les allèles.
Ceci figure les 2 types classiques de TEST CROSS
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La méthodologie de Mendel repose sur un choix rigoureux des plantes :
* A caractère différentiels constants (lisse / ridé) * Produisant des hybrides fertiles * Protégés d’autres pollens
Ici : soit S le caractère dominant, s le caractère récessif.
Hérédité liée au sexe : expériences de Morgan
Explication génétique des résultats ci-dessus :
Gènes liés, gènes non liés
Cas des gènes liés sans crossing-over :
On retrouve les phénotypes parentaux uniquement en proportions ¾ - ¼ comme un croisement par monohybridation.
Chez la drosophile il n’y a pas de crossing-over chez le mâle.
Avec crossing-over
Cas des gènes indépendants :
On retrouve les phénotypes parents + 2 phénotypes recombinés. Ces 4 phénotypes sont en proportions ¼
Un autre exemple (comme le précédent) :
Test de complémentation
Le but est de déterminer si 2 mutants ayant le même phénotype portent une mutation sur le même gène ou sur 2 gènes différents.
Chacun des mutants doit avoir un phénotype récessif devant le phénotype sauvage pour effectuer ce test.
Si la mutation est sur le