Analyse de poème
« Au laboureur » de Pamphile Lemay
Intro : Léon-Pamphile Lemay, romancier, poète, conteur et traducteur québécois du 20ième siècle publia en 1914 Le recueil de poésie «Les épis» dont le célèbre poème «Au laboureur» en fait partie. Ce poète consacre plusieurs œuvres au travail de la terre. C’est-à-dire qu’il décrit le travail de la terre comme étant une récompense au laboureur après l’effort «Au laboureur» est un poème hytérométrique qui a pour sujet un vaillant laboureur. Dans cette analyse littéraire, nous explorerons ce poème sur trois différents aspects.
Premier paragraphe : Strophe 1
« Au laboureur» est un poème qui parle du travail de l’agriculteur et de l’effort qu’il met pour enfin avoir la récompense, le fruit du travail de celui-ci et de la terre. Penchons-nous sur la première strophe. « Depuis l’aube d’opale et la fraîche rosée/ O vaillant laboureur ne s’est point reposée». Cela nous démontre comment le travail d’un laboureur est long et très demandant physiquement travaillant du matin jusqu’au soir. Aucun repos pour ce travailleur, qui doit s’occuper de son champ. « Le sol grince toujours, et toujours des yeux mornes/ regardent tristement ton champ » Ici nous avons une métaphore nous expliquant un sol difficile et qui ne donne pas de très grand résultats. Celle-ci est suivit d’une personnification donnant un sentiment humain au sol en voyant le dur labeur du laboureur. En d’autres mots, la première strophe nous parle du travail de laboureur, des efforts physiques et du temps de travail. Si nous faisons un lien entre ce travail et tout l’effort qu’il met pour l’exécuter, la deuxième strophe nous raconte ses espérances, ses attentes.
Deuxième paragraphe : Strophe 1 et 2
Idée de la deuxième strophe et suite du premier paragraphe
« A quoi donc songes-tu quand tu vas tête basses »
« Vois-tu les blés flotter comme des oriflammes »
Troisième paragraphe : Strophe 4
Concentration sur la dernière strophe expliquant ce que le poète