Analyse Littéraire
À propos du roman Maria ChapdelaineSujet 1
Tout au long du roman Maria Chapdelaine, l’auteur nous décrit de différentes manières la culture d’autre fois. Il nous la présente en tant que très fidèle aux traditions bâtissent par leurs aïeux. Dans le chapitre XV la culture nous aide à démontrer que la troisième voix représente le dilemme de Maria. En effet, Maria termine par choisir de rester au Québec et de se marier avec Eutrope Gagnon à cause de valeurs culturelles qu’il peut lui offrir. Lorsqu’elle nous décrit la troisième voix on peut remarquer le champ lexical de la culture : « vieux culte (p.197), vieille langue (p.197), race ancienne (p.197), pays neuf (p.197), nos chansons (p.198), nos prières (p.198), nos vertus (p.198), notre culte (p.198), notre langue (p.198)». De plus cette voix démontre pourquoi il est aussi important de préserver le patrimoine culturel établi par les premiers arrivants.
«Car en vérité tout ce qui fait l’âme de la province tenait dans cette voix : la solennité chère du vieux culte, la douceur de la vieille langue jalousement gardée, la splendeur et la force barbare du pays neuf où une racine ancienne a retrouvé son adolescence.» (p197)
La dernière partie de cette citation est enfaite une métaphore qui sert à établir un lien entre les coutumes et les traditions d’autre fois, que la population a gardées et transmis aux autres générations. Cela a permis d’établir un pays avec des valeurs et des principes moraux.
«C’est pourquoi il faut rester dans la province où nos pères sont restés, et vivre comme ils ont vécu, pour obéir au commandement inexprimé qui s’est formé dans leurs cœurs, qui a passé dans les nôtres et que nous devrons transmettre à notre tour à de nombreux enfants…». (p.198)
Cette deuxième citation vient affirmer le fait qu’il faut transmettre la sagesse qui a été légué. Donc, le dilemme de Maria a été résolu au moment où elle a réalisé qu’il est important de conserver ce patrimoine culturel. On