Monologue sur Salina
Quelque jours on passer et les cadavres gisait encore au sol Et l’odeur se faisait ressentir dans l’entièreté de la région. Pour moi se fus un choque de voir ces gens sans vie se faisant dévorer les intestins par les vautours affamé et attirer par les odeurs de plus le moi qui a suivi fus pire encore, les rats on débarquer en grand nombre été on propager une maladie inconnue qui tua prêt de la moitié de la population qui avait survécu, c’est à ce moment-là que mon père (Lotay) a décidé de prendre les choses en main, il fit le tour de la ville a la recherche de bénévole pour nettoyer les rues mais personne ne voulut se salir les mains, donc je fus obliger de l’aider à dégager ces cadavres a moitié manger. J’eu l’idée d’allé les déposés sur une …afficher plus de contenu…
La cinquième avait l’aire plus grande et plus arborescente, sur le chemin j’ai croisé de nombreux pécheur chargé de ravitailler la ville en ces moments difficiles. C’était une région bien fournie au point de vue de la faune, on y trouvait des poissons de toute les couleurs et de toute les tailles, je venais pécher ici avec mon oncle lorsqu’il était encore en vie. J’étais en train d’amarré quand un mouvement se produisit dans ma barque il y avait là un nouveau nés une fille d’à peine quelque jour et je compris que j’allais devoir m’en occuper, je pris le soin de bien arrimer la barque et je couru en direction d’un cocotier et en pris le lait pour nourrir le nourrisson. L’ile était entourée de rempart et état aménager à l’aide de canot créant un croisions bien organiser. Quelque jour on passer quand j’eu fini d’enterrer tous les corps, mais le