Je vous remercie beaucoup, monsieur le vice-président ........ C'est un honneur pour moi d'être rejoint par mon prédécesseur, le président Bush, qui a pris les grandes étapes de la négociation de son Accord nord-américain de libre-échange; président jimmy carteer, dont la vision du hémisphérique donne beaucoup d'énergie à nos efforts et a été un thème récurrent des son pour de nombreuses années maintenant, et le Président Ford, qui a soutenu avec autant d'acharnement pour l'expansion du commerce et de cet accord comme n'importe quel citoyen américain (...) Aujourd'hui, nous nous tournons vers relever le défi de notre propre hémisphère, notre pays, notre propre situation économique. Dans quelques instants, je vais signer trois accords qui viendront compléter nos négociations avec le Mexique et le Canada afin de créer un Accord nord-américain de libre-échange. En tant que président, il est de mon devoir de parler franchement au peuple américain sur le monde que nous vivons maintenant. Cinquante ans à la fin de la Seconde Guerre mondiale, un incontesté en Amérique a été protégé par les océans et par notre supériorité technologique, et très franchement, par la dévastation économique des personnes qui auraient pu être nos concurrents. Nous avons choisi, puis, pour essayer d'aider à reconstruire nos anciens ennemis et de créer un monde de libre-échange soutenu par des institutions qui le facilitent.
Comme résultat de cet effort, le commerce mondial a augmenté de 200 milliards à 800 milliards en 1980. En conséquence, les emplois ont été créés et la possibilité prospéré partout dans le monde. Mais ne vous y trompez pas: notre dicision à la fin de la Seconde Guerre mondiale pour créer un système de global, élargi, la libéralisation du commerce et les institutions d'appui joué un rôle majeur dans la création de la prospérité de la classe moyenne américaine.
Ours est maintenant dans une ère où le commerce est mondial et où l'argent, la gestion, la technologie sont très