On ne peut etre juste si l'on n'est humain
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Au XVIII siècle, des personnes éclairées se sont battues pour la liberté, l’égalité et la justice. Mais aussi pour que les nobles n’aient plus autant de privilèges qu’auparavant. Ce qui va mener à une révolution et donc, à un changement total de politique. Le souci de la justice va conduire le philosophe Vauvenargues à dire « On ne peut être juste si l’on n’est humain ». Par ces mots il souligne l’idée que la justice ne peut être juste que si on est humain. Nous pouvons néanmoins nous demander, si Vauvenargues n’a pas poussé son gout pour la justice et l’humanité un peu trop loin. C’est pourquoi nous nous interrogeons sur les effets de l’humanité dans la justice. Par la suite nous nous interrogerons sur les effets négatifs que cela engendre. Pour enfin, aborder le fait qu’il faut juger selon les actes commis, qu’il y ait dans la sanction un certain équilibre entre la compréhension et la dureté. Ainsi, nous aborderons ces différents points en nous questionnant sur la validité de chacun.
Qui oserait nier qu’il faut être humain pour être juste ? Puisque pour pouvoir être juste faudrait savoir tenir compte de certains éléments extérieurs à l’acte commis qui pourraient donner à l’accusé des circonstances atténuantes et donc faire diminuer sa peine ! En effet, le passé ou les problèmes psychologiques, que pourraient avoir une personne, vont avoir un impacte sur les actes de la personne ! Si nous tenons compte de cela, nous aidons la personne et donc en ce sens nous sommes donc plus juste et plus humain ! Pour être humain et juste lorsque nous sanctionnons quelqu’un, il ne faut pas que cette sanction soit appliquée à un groupe. Il est préférable d’éviter d’appliquer des punitions collectives ! En effet, il serait totalement injuste de donner la même sanction à des personnes ayant commis des actes différents. Cependant, il serait préférable de donner une sanction correcte par rapport à la faute commise par chacun de ces