Paul Scarron est l’inventeur d’un style : le burlesque. Les deux textes de Scarron « Le Roman Comique » ont tous les deux quelques points communs et similitudes pour exprimer la moquerie dont il fait preuve, surtout envers les textes du genre romanesque, et plus particulièrement des romans héroïques présentant des aventures épiques.

Scarron dans ces 2 textes utilise un comique de situation et de physique, dans le texte 2 le comique exprimé est un comique de situation mais il utilise aussi la description de « Madame Bouvillion » qui n’a pas un physique facile : « -Son gros visage enflammé et ses petits yeux ». Le comique de situation qui est mis en avant dans cette scène est le fait que « Destin » se fait charmer par cette dévergonder qui n’a aucune gêne, et lui qui est trop timide ne sais comment refuser : « _Sa mauvaise intention le faisant rougir » « _Le pauvre garçons le fit en tremblant ». Le fait que la tentative est échouée lamentablement à la suite de la chute de l’homme et la femme qui se fit assommer par la porte en allant l’ouvrir met le lecteur dans une phase comique. Dans le texte 1 Scarron utilise les même procédé mais cette fois en dévalorisant ce qui est censé être le héros d’une grande épopée en le décrivant : « Un jeune homme aussi pauvre d’habits que riche de mine, marchait à côté de la charrette ». Il met en œuvre des procédés hyperboliques : « _Une épée qui était si longue qu’on ne pouvait s’en aider adroitement ».C’est une des nombreuses méthodes utilisé pas Paul Scarron.

Scaron dans ses textes comiques les écrits à l’imparfait pour donner l’effet d’un roman réaliste et grâce aux descriptions de laideur ce qui enlève tous le coté fantaisiste de l’histoire comme certains éléments néfastes comme « la boue » qui n’a pas sa place dans un récit idéaliste. Dans ses descriptions Scarron est très déprécier les personnages sont laids, mal habillés, sales ce qui renforce l’idée de réalisme et ce qui permet à Scaron de renversé la situation plus