Depuis l’antiquité, l’homme essaie, constamment, d’organiser au mieux sa vie sociale en promulguant, complétant, modifiant et changent des lois. Lesquelles lois sont sensé être respectées par l’homme sous peine d’être sanctionné. Or, il existe des testes de lois qui vont jusqu'à condamner à la peine de morts. Il est acceptable de condamner l’homme en fonction du détit commis pour une raison ou pour une autre, à des peins qui en principe peuvent avoir un effet d’intimidation et de moralisation. Mais pousser la peine jusqu’à tuer, cela s’avère inadmissible. Il est absurde que l’on mette fin aux jours à une personne qui aurait commis un commis un crime quelconque. Il n’est pas donné à la nature humaine de contempler la vérité éternelle, de posséder la certitude absolue, la loi, œuvre des hommes peut-elle décréter la mort, peine irréparable ? Rien n’est plus dangereux que la certitude d’avoir raison. Rien ne cause autant de destruction que croie à une vérité considérée comme irréfutable. Tous les crimes de l’histoire sont des conséquences d’un certain fanatisme. Beaucoup de massacre ont été accompli au nom d’une croyance ou une loi qui se veut juste et équitable. La peine de mort est-elle légitime ? Même si elle est nécessaire, sa légitimité reste contestable. Ces deniers temps, nombre de pays occidentaux ont aboli la peine de mort pour des raison probablement rationnelle et logique. Et malgré cela, la criminalité n’a pas augmenté. Il s’est avéré alors que cette forme de punition n’est ni efficace, ni intimidante, ni moralisatrice. D’autres pays qui se veulent « démocratiques » n’exécutent que si le crime a causé une forte émotion ou trouble au sein de l’opinion. Donc, l’exécution ne répond qu’a une manifestation de l’esprit de vengeance qui n’a, malheureusement, rien à voir avec l’esprit de justice. Donc, ce cas de sanction n’aura pas rempli sa mission pour laquelle elle a été conçue. Parfois, lorsque la peine de