Descartes nous présente son doute entre le bonheur, le fait d'être heureux, joyeux mais en sur-élevant nos biens, les rendre plus précieux, leur donner plus de valeurs, donc de ne pas avoir la vérité et la connaissance sur tout se qui nous entoure et également la connaissance c'est à dire le fait de connaître la juste valeurs de nos biens par rapport aux autres mais en acceptant d'être moins heureux, plus triste qu'une personne ne connaissant pas la vérité. Il considère que si le but suprême de tout homme sur terre était le bonheur, il accepterait le fait que chacuns veuillent se rendre heureux quel qu'en soit les conséquences et qu'il ne comprendrais pas les gens qui ont de la peine en ayant choisi la vérité et la connaissance. Pour répondre à ce doute, il est formel sur le fait que la connaissance et le savoir est une plus grande perfection même si cet idéal de vie est à notre désavantage, il considère que le fait d'être ignorant est bien plus pénible que le fait d'être connaisseur et être malheureux.

Cela vaut également pour le respect de la loi. Lorsque nous respectons convenablement la loi nous nous considérons meilleur, respectable ne risquant aucun semblant de sanction et gardant de bons liens sociaux mais en ayant tout de même de nombreuses restrictions pouvant être très souvent contraignantes. Alors que lorsque nous ne respectons pas la loi nous sommes sans doute la personne la plus heureuse possédant toute la fortune désirée mais si jamais par malheur nous nous faisons attraper les sanctions les moins désirées nous atteignent, nous devenons une mauvaise personne peu fréquentable aux yeux de tous, nous perdons tout liens sociaux et risquant même sa vie.

Le bonheur est souvent conçu comme une fin idéale de tout être humain, le bonheur est la fin la plus haute. Cependant après avoir reconnu cela, nous n'avons encore rien affirmé sur la nature du bonheur en lui même. Au sens commun, à la définition du