Philisophie de rousseau
Grand principes philosophiques:
Dans l'anthologie, Rousseau écrit dans Émile à propos de la mort, le mal et la souffrance.
Il écrit que l'homme qui vit dans la simplicité et sans passion est sujet à peu de maux et que dès lors il n'a pas de craintes vis-à-vis de la mort puisqu'il ne la sent et prévoit pas.
Selon lui, « Qui ne sait pas supporter un peu de souffrance doit s'attendre à beaucoup souffrir ». Il dit aussi qu'il ne faut pas redouter la mort et en avoir peur car cela nous fait vivre dans la crainte et la frayeur.
Il conseille à l'homme de ne pas chercher l'auteur du mal, puisque cet auteur est l'Homme lui-même.
À côté de cela et dit aussi que tout ce qui est bien est juste. Or tout ce qui est bon est généré pas une puissance sans limite. Donc l'être souverain bon, parce qu'il est souverain puissant doit aussi être souverain juste.
Selon Rousseau, chaque homme est doté du sentiment naturel de l'amour de soi. Ce sentiment fait en sorte qu'on veille à sa propre conservation. Il condamne l'amour de soi devenu trop important: l'amour-propre. C'est de cet amour-propre que découlent, selon lui, tous les maux sociaux.
Par ailleurs, chez Rousseau, la mention de 'philosophe' est le plus souvent péjorative. Due au fait que Rousseau leur reproche leur mauvaise description de l'état de nature, leurs principes politiques et, le plus souvent leur critique de la religion chrétienne.
L'idée de nature est essentielle dans les œuvres de Rousseau. Il distingue deux significations principales: premièrement ce mot désigne tout ce qui est originel et primitif à la nature humaine. Rousseau veut expliquer à l'homme