Philo

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« Elle est naturelle » , une phrase qui est couramment utilisée dans notre société lorsque l’on parle d’une femme, par exemple, qui ne se maquille pas. Seulement, cette femme porte des vêtements, se coiffe d’une manière particulière et peut même se teindre les cheveux. De même lorsque l’on dit « c’est dans sa nature » en parlant d’une personne gentille par exemple, nous nous trompons. Ce n’est pas la nature qui lui a donné la faculté de se comporter gentiment, car ce n’est pas inné, ça n’est pas universel mais c’est sa culture qui lui a permis d’acquérir la gentillesse. Toutes ses qualités physiques ou morales relèvent donc de la culture alors que ce qui est inné en nous relève de la nature.
Nous pouvons donc nous interroger sur les limites de la nature de l’Homme,, qu’il puisse par ailleurs être un être sans nature, qu’il puisse modifier sa nature et donc perdre son état originel et qu‘il puisse non pas se dénaturer mais au contraire améliorer sa nature.
Nous verrons alors que l‘homme est un être ayant des caractères communs, avant de nous pencher sur le fait qu’un homme est un être dénaturé. Puis, nous terminerons en montrant que l’homme est un animal social qui par le progrès et sa culture développe son niveau de vie.
Dénaturer une chose, c'est la pervertir en lui faisant faire ou être quelque chose qui ne correspond pas à son essence ou à sa position originelle. On peut aussi envisager le concept comme une sorte de jeu de mot. L'homme serait dé-naturé en ce sens qu'il n'appartiendrait plus à la

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