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Sommaire

Naissance de l’idée

Réglementations

Etude de marché « nationale »
Pour ce projet, j’ai pu m’apercevoir qu’il me fallait étudier plusieurs marchés.
-Marché de l’épicerie
-Marché de la confiserie
-Marché des boissons chaudes
-Marché de l’emballage

Je commencerais donc par le marché de l’épicerie, qui me permettra de vous amener vers les autres marchés. Marché de l’épicerie :
Leader: Nestlé 99 702 M dollars Challenger: Unilever 58 566 M dollars
Suiveurs: Pepsico 57 838 M dollars
Kraft foods: 49207 M dollars
Hier encore échaudés par les hausses de prix et devenus trop énormes les français retrouvent de l’appétit pour l’épicerie. Ce qui ne peut qu’encourager les marques nationales à reprendre de la verdeur, là ou les MDD sont trop exubérantes.
26,1 Mrds € c’est le chiffre d’affaires de l’épicerie en France des hyper, super et hard-discount. Avec une croissance de +1,3% annuelle. La part de marchés des hard-discounteur représente 15,2%. L’évolution en volumes des hyper et super marché représente 1,4%. Il y a 7 516,4 références en hyper et super marché, avec une croissance de +1%.
L’épicerie se divise en deux parties, le salé et le sucré.

L’épicerie salée innovante, tant pour rhabiller ses classiques de nouveaux atours que pour apporter de nouveaux atouts dans ces gammes. Il est vrai que le renouvellement de l’offre demeure un levier majeur de la croissance. C’est par l’innovation que l’on créé de la valeur. Il est important que les distributeurs laissent aux innovations le temps de s’installer. Les fréquences d’achats sont pourtant relativement faibles. Il faut environ 1 an et demi à une innovation pour trouver sa place.
Marché de la confiserie :
Affecté par la crise et le plan national nutrition santé, la confiserie de chocolats retrouve l’appétit. Mais ne goûte que du bout des lèvres à l’innovation, se bornant aux changements de recettes et de formats.
Le chiffre d’affaires de la confiserie de chocolats