1. Après une première lecture du livre VII des Fables, j'en retiens quatre : Le héron ; La fille ; Les deux coqs et Le chat, la belette et le petit lapin. Je les ai choisi d'abord par la simplicité de leur compréhension par rapport aux autres, et puis parce que j'ai aimé l'enseignement qu'elles délivrent car encore aujourd'hui, trop de personnes ont les défauts de ces « héros éponymes ».
Je retiendrais qu'il faut savoir non seulement se contenter de se qui s'offre a nous, mais aussi qu'il ne faut point faire le difficile ou proclamé haut, fort et trop vite sa victoire car ont pourrais le regretter. Il faut être vigilant, et non naïf et faire preuve de sagesse.

2. On peut rapprocher plusieurs fables du livre VII :
Le héron et La fille car tous deux critiques un même défaut humain : l'insatisfaction
Les animaux malades de la peste et La cour du Lion critiquent le pouvoir royal , ce sont des satires sociales du Roi. On pourras rapprocher ces deux fables de La tête et la queue du serpent dans laquelle La Fontaine met en évidence qu'il ne faut pas contesté l'avis du Roi, il faut simplement le suivre.
Le Rat qui s'est retiré du monde et Le curé et le mort critiquent deux mêmes thèmes : la religion et l'avarice.

3. L'unité du livre VII repose pour moi sur satire sociale puisque beaucoup des fables présentes dans le livre portent sur des sujets de sociétés comme le statut social, la fortune et insiste sur les défauts des hommes comme l'avarice,