Résumé chapitre 2 condition homme moderne arendt
Travail sur Hannah Arendt
Condition de l’homme moderne : Chapitre 2
Dans ce travail, je tâcherai de vous présenter de manière systématique les différents éléments qui se retrouvent dans le deuxième chapitre du Livre La condition de l’homme moderne de Hannah Arendt. Dans ce chapitre, Arendt définit divers concepts comme le public et le privé et les rapports qui existent entre eux. Elle traitera d’ailleurs de ces deux concepts tant au niveau de la cité grecque antique que de notre système actuel. Elle pendra d’ailleurs soin d’introduire le concept de l’avènement du social et de présenter comment celui–ci s’intègre face au concept de public et de privé.
Premièrement, ce qu’il faut savoir pour bien débuter cette analyse, c’est qu’Hannah Arendt considère que les activités que nous posons sont toutes arrangées en fonction du fait que nous sommes des êtres vivants dans une société humaine. Cette société remplie d’objets, de possessions, découle de notre savoir-faire, de notre main d’œuvre et de nos actions qui seraient, selon Arendt, impossibles à réaliser en dehors de cette société. Car si un être humain s’en allait seul, dans l’isolement total, à construire un monde rien qu’à lui, il perdrait sa catégorisation d’être humain pour devenir plutôt un Animal Laborans ou encore pourrait être considéré comme une sorte de Dieu créant son petit monde personnel par ses propres forces et moyens.
Rentrons maintenant dans le vif du sujet. C’est quand la cité fut établie dans la Grèce Antique que l’on vit apparaître la distinction entre ce que l’on appellera la vie privée et la vie politique, c’est-à-dire le publique. Le privé, nous y reviendrons, est l’endroit par excellence pour toutes les formes inimaginable d’inégalité. Au contraire on retrouve dans le publique deux actions spécifiques des hommes libre, la praxis et la lexis (l’action et la parole). Cette organisation dans la sphère publique, la politique, offrait à ces hommes réussissant à échapper