Ignorant vaniteux aux méprisables illusions attrapées au vol dans d'illusoires écrits. Des valeurs, les tiennes, les miennes, toutes opposées, complémentaires. Simples éphémères de pensées, jugements relatifs où la lame blanche égorge les égarés. Devise pourtant similaire, trouver dans l'infini du regard réponses aux questions existentielles. Besoin superficiel puisé dans la volonté humaine afin de gorger modèle à la création individuelle. Une danse, sur un air d'envoûtement, des pas dans les murmures d'un bonheur. Une main, l'une dans l'autre, des corps en transe. Bonheur trouvé dans cette mascarade, celle de l'Humain dansant avec son propre reflet. Ego possessif, envie destructrice de pouvoir. Eris amusée de nous voir suivre des desseins préinscrits. Elle manipule, fait couler le sang, larme sur une terre meurtrie. La fin, le début. Une ambiance musicale, des notes payées contre l'ignorance. Volonté de rêver un monde meilleur, la religion reste pour cette Déesse le bien illusoire, alors elle rassemble les Hommes autour d'un désir de pouvoir. Institutions destructrices, bornées, limitées coupant les esprits libres d'une quelconque envie de découverte, de voyages. Voir sous terre les racines de nos vies. Mondes à forger, mais seuls les libres pourront trouver le moyen de se chercher. Enfant sage questionne ainsi la religion : A quoi sers-tu ? N'est-elle limitée qu'à un rôle de communauté ? En supposant et en observant la vérité de cet enjeux communautaire, l'enfant observer contradictions en l'absurdité même de cette illusion en pointant du regard l'égocentrisme humain enchaînant la religion à des institutions fanatiques. En suivant le principe d'alchimie « Une personne ne peut rien gagner sans perdre quelque chose. Pour gagner une chose, il en faut une autre de valeur équivalente » servant d'équilibre à cette démonstration, nous observerons que la religion peut être ambidexte : source de cohésion et de décohésion sociale. Elle crucifiera d'elle même ses propres