La pensée a gardé arriver à moi à travers le livre, qui quand Julien a eu le succès mineur dans sa vie, c'était malgré se. Il essaie fort d'être conforme au modèle qu'il a choisi pour se dans une situation particulière, mais il est si mauvais à maintient son acte, cela finalement, il vacille et révèle sa vraie nature et sa vraie faiblesse. C'est dans ces moments de faiblesse que sa vraie humanité transparaît profiter lui loin plus que tous ses efforts hypocrites. Julien Sorel obtient seulement quelque chose après avoir échoué pitoyablement à essayer désespérément de l'obtenir. Un exemple de ceci est l'acquisition de Mme. De Rénal comme son amant. Il met la grande pensée dans comment et quand il lui ira.
Il pense que la raison il va à elle est qu'il doit la posséder et la fait une conquête, mais il est comme un garçon qui essaie courir dans ses chaussures de père. Il est gauche et maladroit dans sa détermination pour être conforme au modèle qu'il a choisi pour se, qui d'un homme astucieux, confiant et séduisant du monde. Quand il se trouve totalement incapable d'enlever sa façade, ayant compté sur la confiance et la sophistication qui ne sont pas trouvé à l'intérieur de lui, et rempli avec la confusion et la panique, il cède et lui s'abandonne comme un pitoyable, l'enfant qui sanglote. L'échec de Julien pour se mouler dans un CAO révèle la faiblesse et la vulnérabilité de son vrai caractère. C'est cette vulnérabilité, et na » qui rallie le cœur de la dame de la maison, Mme.
De Rénal, et gagne Julien la conquête qu'il a cherchée. Bien sûr, c'est il qui a été conquis, mais sa fierté ne le permet pas de voir cette réalité peu