Rédaction registre réaliste et fantastique.
J’avais sept ans lorsque cet évènement s’est produit ; vous avez le choix de me croire ou non mais le jour où j’ai connu la curiosité, l’attachement sans oublier la personne de qui j’aurais pu tomber amoureux au fur et à mesure des années est également le jour où j’ai été tétanisé et terrifié. Nous venions d’emménager dans une grande maison sombre, avec de grands escaliers imposant avec un tapis noir et argenté, calé avec de grandes barres dorées, des fenêtres immenses, parfois délabrées et des portes grinçantes à en réveiller un mort dans sa tombe. Ma mère n’avait pas encore eu le temps de dépoussiérer chaque pièce, des centaines de toiles d’araignées se rependaient à chaque coin d’une salle ce qui rendait notre demeure assez glauque. Elle ne voulait pas que je m’aventure trop loin, dans les pièces que nous ne connaissions pas encore, mais la curiosité m’a tiré de ma chambre qui était encore remplie de cartons. Au dernier étage se trouvait une sorte de grenier, avec un mur pivotant ce qui nous amenait dans une grande salle constituée de produits chimique afin d’exercer toute expérience quelle qu’elle soit où se trouvaient une petite fille de mon âge qui avait l’air perdue au beau milieu de tous ces objets scientifiques. Son teint était pâle comme la neige, ses yeux bleus semblable à l’océan, ses cheveux ondulés dorés rappelant le soleil intense qui tape en plein après-midi et ses lèvres rouges comme un bouton de rose prêt à éclore. Je descendis les escaliers de la salle pour rejoindre