L’art du Roman, Milan Kundera.

Milan Kundera est écrivain d’origine tchèque ayant obtenu la nationalité française en 1981, à l’âge de 52 ans. Il a écrit une dizaine de romans et quelques essais dont L’Art du Roman. Ce dernier parle de la vision qu’a l’auteur de l’écriture. Il l’a baé sur sa propre expérience.

Tout d’abord, M. Kundera replace un contexte : il décrit la crise européene née durant les Temps Modernes. Cette crise se base sur la soif de connaissances entraînée par les grandes découvertes. Afin de la satisfaire, l’Homme s’est spécialisé dans différents dommaines (astronomie, physique, etc.), ce qui a fait qu’il s’est surtout interessé aux termes techniques, sans sentiments. Et ça, un écrivain allemand l’a qualifié d’ « oubli de l’être » : l’Homme s’ouble peu à peu face au Monde si vaste. Il rajoute que, pour lui, en plus de Galilée et Descartes (pour certains, les fondateurs des Temps Modernes), Cevrantes a fait partie des grandes figures de cette période. De fait, il ne faut pas juger trop hâtivement cette période qui méprise l’Homme car contrairement à la Science et la Philosophie, le roman n’ommet pas l’être hu,ain, il le met en avant. En effet, le roman est essentiellement basé sur l’exploration et on y retrouve toujours la soif de connaissances. Mais le sujet traité est l’Homme. Le roman constitue donc une sorte de protection qui permet de contrer en quelque sorte l’ « oubli de l’être ». Deplus, le roman est vu par cetains comme un remplaçant à Dieu. Si en cette période de démystification le Seigneur ne peut plus aider les Hommer à clairement discerner le bien du mal ; c’est dans le roman qu’ils chercheront. Même si l’esprit de ce dernier ne dit qu’une chose : on n’est jamais surs de rien, il n’y a pas de Vérité Absolue, ni de Juge Suprême. Ensuite, l’auteur décrit l’évolution du roman durant les siècles. Il qualifie les premiers écrits d’oisifs et sans limites géographiques ou temporelles. Mais très vite, les limites dues aux