Sfds

417 mots 2 pages
Résumé:
Le bonheur se trouve définit pour les post-modernes comme jouissance au mieux, comme non-souffrance au moins. Le manque d'efficacité immédiate des techniques philosophiques et psychanalytiques concernant la souffrance psychique permet de comprendre pourquoi ces méthodes sont majoritairement délaissées au profit de la consommation de psychotropes chimiques, à la recherche d'un bonheur éphémère.

I. Le problème des souffrances psychiques
II. Le recours aux psychotropes
III. Angoisse et culpabilité
IV. La théorie des transhumanistes

Extrait du document:
Premièrement, que nous soyons dans le monde actuel ou dans ce monde possible ou futur, ce sont les souffrances psychiques qui font problème. En effet, celles-ci ne peuvent être envisagées sans le rapport de l'individu avec son environnement. C'est la confrontation entre l'individu et son environnement social qui est en grande partie à l'origine des souffrances psychiques. Si la réalité à laquelle est confronté l'individu génère des souffrances psychiques, c'est qu'elle est problématique. Pour faire face au problème, trois possibilités sont envisageables ; soit l'individu tente de modifier la réalité, soit il se modifie lui-même, soit il se suicide. Les psychotropes relèvent évidemment de la deuxième possibilité.

Résumé:
Le travail, conçu comme la production de valeurs au moyen de la transformation de matières premières, est au cœur des sociétés humaines. Il en est même le fondement : les hommes travaillent pour subvenir aux besoins des autres, et comptent sur le travail des autres pour subvenir à leurs propres besoins. Ainsi, le boulanger nourrit ses confrères, mais à besoin du maçon pour construire sa maison. Mais cette complémentarité des tâches accomplies par les uns et les autres, autrement dit le travail, est-il suffisant au bonheur de l'homme ? Car le bonheur n'est pas seulement la satisfaction des besoins primaires et naturels de l'homme tels que manger, dormir ou ne pas avoir froid.

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