Sociologie
Quand l’anthropologie se penche sur cet objet, quelle question se pose-t-elle ? A travers cet objet ce que l’on travaille d’étudier comment s’articule le biologique le culturelle et le sociale. On met en perceptive les différentes sociétés, les fragilités du corps, ce qui le menace, comment on le protège, le soigne, comment ce fabrique un enfant, ce sont des constructions sociales, et on étudie en quoi ce sont des constructions sociales. Le corps est un élément privilégié sur lequel les environnements socio culturelle viennent s’inscrire. Comment s’établie cette imprégnations. On peut se demander comment le domaine du religieux (le politique, l’économique, le symbolique) intervient dans la manière dont on va penser et utiliser nos corps ? En retour on se questionne en quoi nos corps participent à leurs tours à produire du sociale et du culturel. En quoi il participe à produire du social ?
Le corps cette base matériel est un élément privilégié. Le corps c’est une construction sociale et c’est un objet de production sociale.
Deux angles d’analyses de ces liens entre ces dynamiques sociaux culturelles: * Celui de François Héritier, Griaule, Leenhardt, auge : Les pratiques alimentaires. Les sensibilité alimentaire, toutes les cultures nous amène à penser à l’alimentation, ce qui peut être consommer par chacun de nous s’inscrit toujours dans ce qu’ils appellent un ordre symbolique (toutes les cultures fixent un ordre du mangeable : ce que l’on peut consommer avec systématiquement des aliment prescrites, proscrite, un système de classement commun en deux grandes catégories consommable, non consommable, ce classement est non explicite) Corbeau relate l’histoire d’une personne qui voyage qui est face à un repas de chien, et il trouve ca bon. Au fond est-ce qu’ il y aurait des invariant gustatif ? Il dit ensuite que c’est juste a vomir, on ne transgresse pas notre ordre symbolique alimentaire. Les hommes se nourrit de nutriments mais également de signe