Sujet: «et je porte avec moi cette ardente souffrance » écrit apollinaire dans son poème tristesse d'une étoile. pensez -vous que la souffrance est nécessaire au poète pour écrire ses poèmes?
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Dissertationsujet: «Et je porte avec moi cette ardente souffrance » écrit Apollinaire dans son poème Tristesse d'une étoile. Pensez -vous que la souffrance est nécessaire au poète pour écrire ses poèmes?
Introduction
Tout d'abord les poètes sont avons tout des hommes et peuvent éprouvés une multitude de sentiment,comme la souffrance quand retrouve auprès de nombreux poètes. Guillaume Apollinaire écrit dans son poème tristesse « Et je porte avec moi cette ardente souffrance ». Alors on peut ce demander si la souffrance est nécessaire au poète pour écrire ses poèmes?Dans un premier temps nous verrons que la souffrance est parfois un moteur,un guide pour écrire ensuite nous montrerons que d'autres sentiments peuvent poussez un poète à écrire.
Tout d'abord la souffrance est souvent l'un des sentiments qui permet ou guide certains poètes a écrire.
En effet certains poète écrivent par chagrin tels est le cas d'André Velter dans «l'amour extrême» dans lequel il partage ces sentiments suite à la mort de sa femme avec le lecteur, c'est un moyen de pouvoir effacer le souffrance de tourner la page . On a ensuite Apollinaire dans «alcools» exprime ces peine, ses douleurs avec certaines femmes qui l'on quittée c'est le cas de «signe» dans lequel Apollinaire est dégouté par l'amour et d'ailleurs dès la première strophe on le sens «je déteste les fleurs,je regrette chacun des baisers...)
Ensuite souvent en écrivant des poèmes qui parle de souffrance les poètes parviennent à émouvoir le lecteur, qui se reconnaît dans l’expression de sentiments universels tels est le cas de Velter tout au long de ses poèmes dédier à Chantal Mauduit le lecteur ce sent porté par sa peine,le lecteur se met presque dans sa situation il ressent la peine qu'éprouve Velter.
Pour finir la poésie peut parfois traduire un sentiment de manque, l'amour malheureux ce qui pousse parfois les poètes à écrire quand