La synthèse réalisée portera donc sur le thème « Cette part de rêve que chacun porte en soi ».
Afin de rédiger celle-ci, nous avons quatre textes à notre disposition. Le premier de Jean-François DORTIER, « Quand je serai grand… » traite de l’avenir des rêves d’enfants tout comme Martine LARONCHE dans son article « Qu’est-ce que j’peux faire ? J’sais pas quoi faire… »qui explique que les rêves d’enfants ne sont pas la réalité à laquelle sont confrontés les adolescents lors du choix de leur orientation. Les deux autres documents nous présentent deux personnages qui ont chacun leur monde de rêve, pour Paul AUSTER dans « Brooklyn follies », il s’agit d’un hôtel et pour Michel BOUQUET et Fabienne PASCAUD dans « Mémoire d’acteur », il s’agit ici d’une scène de théâtre.
Il serait donc intéressant de se demander si les rêves d’enfants sont réalisables et si chaque personne a son propre monde imaginaire ?
Pour cela, nous verrons dans une première partie l’étude des rêves d’enfants, sont-ils universels ou propre à chacun. Puis, dans une autre partie, nous verrons comment le rêve se symbolise-t-il dans l’esprit.

Voyons tout d’abord l’étude des rêves d’enfants. Selon DORTIER, les enfants aspirent à devenir des superhéros ou des princesses et s’identifient à ces personnages « fantasmatiques ». DORTIER explique également qu’en grandissant, ces enfants devenus adolescents gardent un goût pour les métiers fantastiques. Fini l’envie de devenir un superhéros ou une princesse, ils aspirent désormais à être champion de foot ou star de cinéma. Les rêves d’enfants peuvent donc se traduire à l’aide d’un monde imaginaire et fantastique où ceux-ci s’évadent et se créer leur propre monde.
Néanmoins, ce monde imaginaire qu’ils s’inventent peu constituer un frein pour leur future orientation et vie professionnelle. En effet, cela n’étant pas très réaliste, les enfants/adolescents doivent faire face à des carrières plus réalisables selon leurs préférences. Mais ces