Laurent Cordonnier (français) professeur à Lille 1 a rédigé en 2000 « pas de pitié pour les gueux » apparut aux éditions Raison d’agir, Ses travaux portent sur la financiarisation du capitalisme il semble être un néoclassique vu les idées défendu dans son œuvre. Dans son œuvre il analyse comment se sont forgés certains mythes et représentations de l’économie du travail. Il nous montre son opinion du chômage en faisant un réquisitoire ironique de l’économie du travail et en nous indiquant les chemins qui mènent à la réalité, c’est un ouvrage ironique du faite que ce dernier décrit les chômeurs ou les individus précaires a travers des énumérations péjoratives. Cette ouvrage ce situe dans un contexte actuel marqué par un taux de chômage qui ne cessent d’augmenter depuis le début du 21eme siècle. Comment l’auteur nous présente le chômage et quelles sont les causes ?

Dans notre première partie du livre l’auteur nous présente le marché du travail sur lequel se rencontre l’offre et la demande, selon lui le travail est un cycle répétitif sans fin. Pour lui le travailleur renonce a une partie des loisirs en vu de consommer en d’autre terme l’individu est un être rationnelle qui cherche à maximiser son profit, son intérêt premier est le salaire, pour lui le travailleur vient travailler en cherchant son intérêt à savoir le salaire et que par fini il oublie le gout du travail par finit il fournit peu d’effort pour avoir plus de salaire en outre il dénigre le travail dans cette première partie
Dans la deuxième partie du livre Les individus vont chercher a maximisé leur profit grâce a l’embauche. Il va falloir séduire l’individu car ce dernier est rationnel et ne prendra pas n’importe quelle proposition l’employeur prend un risque en embauchant le salarié car il ne sait pas le degré de productivité du salarié vu que lors de l’entretient l’individu peut se montrer perfectionnant. En outre sachant que l’individu peut être sollicité par plusieurs entreprise sur le