Taylorisme
Suivant la recherche opérationnelle, la plupart des organisations humaines tombent grossièrement, au niveau de leurs structures de fonctionnement (souvent traduites par un organigramme), en plusieurs types. Ces types de structures font l'objet de cette section ; en revanche, les méthodes d'organisation font l'objet de l'article Organisation du travail.
Pyramides ou hiérarchies
Une hiérarchie est une structure verticale avec un meneur ou chef et des échelons intermédiaires jusqu'aux personnes de la base. C'est la bureaucratie classique. Habituellement on monte par l'ancienneté, ou en obtenant de l'autorité sur plus de gens.
Les pyramides sont une façon efficace d'obtenir des résultats reproductibles car elles ont la distance la plus courte depuis le décideur jusqu'à l'exécutant.
Elles souffrent de défauts de communication et de supervision car l'organisation est aussi bonne que son lien le plus faible. Elles manquent de créativité à cause de la mauvaise communication ('pourquoi' est souvent perdu).
La solution classique pour le problème de la communication est un magazine qui passe en revue la totalité de l'entreprise, avec une certaine fréquence. Un bon plan est de faire envoyer un courriel par chaque membre chaque semaine, indiquant ce qu'il a fait, ses projets, et problèmes. Chaque chef fait un résumé et l'envoie. Et ainsi de suite vers le sommet.
Les hiérarchies furent satirisées dans Le Principe de Peter en 1969 qui introduit le terme hiérarchiologie et la notion que, « dans une hiérarchie, chaque employé tend à atteindre son niveau d'incompétence ».
Un type particulièrement rigide est celui du principe du