Toutes les pratiques culturelles ont-elles la même valeur ?
Toutes les pratiques culturelles ont-elles la même valeur ?
Par définition, les « pratiques culturelles » se résument dans nos sociétés à la consommation de biens culturels (ainsi à les amélioré) en relation avec la définition courante de la culture, on considère qu’il existe 5 grandes pratiques culturelles : l’écrit, le son, l’image, les sorties et enfin les pratiques amateurs. Dans les pratiques culturelles on entend parler de la culture qui est l’opposition à la nature, la culture est l'ensemble cohérent des valeurs, normes, mœurs et connaissances qui caractérisent une société humaine, c'est ce à quoi nous initie l'éducation, en tant qu'elle a pour but de nous ouvrir au monde humain. À rapprocher de la notion de civilisation. La civilisation, c'est d'abord ce qui s'oppose à la barbarie ou à l'état sauvage, comme un progrès dans les mœurs et les connaissances. Rousseau a contesté cette identification de la civilisation, au sens d'éloignement de l'état de nature, avec le progrès, tant moral qu'intellectuel. On tend ainsi à parler de plus en plus de civilisations au pluriel, notamment sous l'influence de Lévi-Strauss, comme ensembles cohérents et durables de règles, de savoirs et de mœurs, sans hiérarchie.
Tandis que le mot « valeur », c’est ce que vaut un objet ou une personne, ce qui fait son prix ou sa qualité, son ajustement à la perfection d'un concept pour un objet ou sa conformité dans l'action à un type idéal qui sert de critère pour juger de la valeur de l'homme.
On distingue la valeur relative au désir et la valeur morale telle que rien ne peut primer sur elle: ce qui revient à distinguer l'impératif hypothétique (si tu veux... alors ...) et l'impératif catégorique qui commande absolument le respect des personnes parce qu'elles ont la dignité de porter en elles la raison pratique, la loi morale.
=> Sans la valeur morale, l'étendue des connaissances ne peut donner que puissance à la violence et au mépris des personnes. La raison