INTRODUCTION.
Le cheval dans les sociétés occidentales du XIX° au XX° siècle. Depuis des millénaires, le cheval sert l’homme et symbolisent la puissance et la liberté. À l’État sauvage, cet herbivore pacifique incarne tout à la fois la vivacité, l’impatience, la rapidité, la fougue, et toujours, l’harmonie des formes, l’élégance des allures.
Attelé ou monté, il a tiré et porté des lourdes charges, labouré des champs, il est allé au combat avec bravoure. Ils ont suivies pas à pas le destin des hommes depuis qu’ils ont été domestiqués. Sculpteurs, peintres, poète, cavaliers aux promeneurs qui s’avancent vers eux pour les caresser ; le cheval ne laisse personne indiffèrent. Domestication tardive et interminable, aucun animal domestiqué n’a autant résisté à l’homme que lui, en ville comme aux champs , a la ferme , à l’usine, au fond des mines , sur les routes et les chemins de halage , le cheval était présent partout , associant jour âpres jour son labeur à celui de son maitre ,prolongeant de sa force et de son énergie l’intelligence de ce dernier . De même, le cheval est inséparable des épisodes les plus spectaculaires de l’histoire humaines comme l’invasion mongoles, la conquête de nouveaux monde, les guerres napoléoniennes, la colonisation de l’ouest américain, … il partage avec l’homme l’horreur des combats beaucoup plus que la gloire.
De sa naissance, ses premiers galops, sa liberté sauvage a son dressage jusqu’aux exploits sportif, des steppes de Mongolie aux déserts d’Arabie. Dans le monde du cheval et son cavalier, rien n’est acquis, rien n’est joué d’avance, tout est possible : exploits comme la défaites, la promenade a petit pas tranquille comme la course dans un galop demandé.
Les légendes racontent d’ailleurs que c’est un animal fabuleux : « le voici si léger,qui marche sur les épis de blés sans les courbés, qu’ils traversent la mer sur la crête des vagues, qu’il danse sous la lune …et puis, soudain l’œil révulsé, le souffle brulant, le voilà