Tpe sprint
La respiration est mesurée grâce à une sonde à O2 qui nous permettra d’observer la quantité d’O2 consommée. * Observations :
On observe souvent que chez un individu ne pratiquant pas de sport, l’essoufflement, à l’effort, est plus rapide que chez un individu ayant une activité sportive régulière. * Hypothèse :
Un individu ayant une activité sportive régulière respire mieux après une activité endurante ou intensive qu’un individu qui ne pratique pas de sport. 1. Respiration au repos : * Protocole expérimental :
On mesure la respiration, d’un individu sportif, ainsi que celle d’un autre individu qui pratique très peu de sport, au repos pendant 3 minutes. * Résultats :
On obtient une courbe significative du volume d’O2 consommé par un individu ayant une activité sportive régulière : Doc.1 : Mesure du volume d’O2 consommé, au repos, par un sportif.
On observe que le volume d’O2 consommé augmente régulièrement. De plus, la valeur totale d’O2 consommée atteint 0.38 L d’oxygène et que 20.4% de cet O2 est expiré.
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De même, on obtient une courbe pour l’individu n’ayant pas d’activité sportive régulière :
Doc. 2 : Mesure du volume d’O2 consommé, au repos, par un individu ne pratiquant pas d’activité sportive régulière.
De même, le volume d’O2 augmente régulièrement. De plus, la valeur maximale atteint 0.24 L d’oxygène consommé.
* Interprétation :
Le besoin en oxygène reste le même au repos, ce qui explique la « presque » régularité des courbes. Les valeurs sont quasi-identiques, ce qui signifie qu’un individu n’ayant pas d’activité sportive régulière consomme la même quantité d’O2 qu’un autre individu avec une activité sportive régulière. * Conclusion :
Un individu n’ayant pas d’activité sportive régulière respire de la même manière qu’un autre individu n’ayant pas d’activité sportive régulière.
Page 2 2. Respiration après une