Transparence fukushima
1. Le concept de transparence selon Jean-Denis Bredin
Dans son article, Jean-Denis Bredin fait des liens entre le secret et la transparence. Selon Bredin, le secret fait référence à « l’expression du silence, de l’intimité, de la discrétion, un mot rassurant, ou tout au contraire un mot inquiétant, désignant ce qui est opaque, clandestin, ténébreux. »
La transparence est synonyme de « vérité, de limpidité, de clarté, de pureté ».
Son règne est apparu en quelques années ; Une des nombreuses causes de la montée de la transparence dans les sociétés modernes est l’image qui se dit être la vérité, le droit de savoir, « la soif de vérité ». Il y a aussi l’écrit, la presse écrite publie les indiscrétions et les révélations même illicites pour combattre l’image.
Bredin établit aussi les forces qui entretiennent la montée de la transparence comme la ressource de la technologie moderne ou l’argent.
2. Le concept de transparence selon La banque Mondiale
La Banque Mondiale affirme sa position sur l’importance du droit de savoir, du droit à l’information. Il prétend que si le gouvernement fait preuve d’un manque de transparence sur les informations qu’il doit à sa population, cela constitue un vol donc un délit. Le gouvernement est au service des citoyens, ce qui veut dire qu’il doit aux citoyens le droit à l’information. L’auteur soutient qu’il est difficile de créer un gouvernement réellement transparent .Et il ajoute que le gouvernement peut faire preuve d’abus de pouvoir quand il fait preuve de manque de transparence, car il manipule la population et peut le faire à son gré avec l’aide de la corruption.
3. Ceci nous amène à présenter la catastrophe de Fukushima et son cauchemar nucléaire.
Le 11 mars 2011