Un fil à la patte note d'intention
1405 mots
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Un file à la patte est une comédie en trois actes de Georges Feydeau créée le 9 janvier 1894 au Théâtre du Palais-Royal. Le spectacle remporte un grand succès, et de nombreuses adaptations son de nos jours encore faites. Cette pièce raconte l’histoire de personnages hauts en couleurs comme : Bois d'Enghien ainsi que Lucette, la diva, sa maîtresse, celle avec qui il doit rompre, car il s’en va signer, l'après-midi même, son contrat de mariage avec Viviane Duverger, jolie jeune fille et surtout détenant une jolie dot, ce qui par ailleurs intéresse beaucoup Bois d’Enghien ayant perdu toute sa richesse.
Dans cette histoire loufoque d’autres personnages comme Madame Duverger, la mère de Viviane, partagent la plume de feydeau, celle-ci veut Bois d'Enghien comme gendre. Ou le veut-elle, tout court ?
Le (nouveau) riche Irrigua veut s'offrir Lucette comme maîtresse. Tout l'entourage de Lucette, y compris Bois d'Enghien, est d'accord, puisque Irrigua est riche. Mais il est aussi très jaloux de Bois d’Enghien qui détient le cœur de sa conquête, malgré tous les présents et les promesses de sa part, la divette aime éperdument son amant malgré ses dérapages intempestifs.
Dans le but de dégager les pistes susceptibles d’accompagner une note d’intention dramatique d’un file à la patte, nous analyserons 4 documents iconographiques proposés. Ce corpus nous offre premièrement une peinture « Auf der Schaukel » par Richard Müller (1922), puis une photo intitulé « jeunes universitaires se disant bonjour » par Matha Holmes (1947) et une seconde photo « Russ Tamblyn effectuant un saut périlleux avec la starlette Venetia Stevenson » par Allan Grant (1955) puis, pour finir un dernier document s’apparentant à une photo, celui-ci reste plutôt anonyme et impossible à contextualisé avec pour seule indication : son titre « femme avec son chien »
Tout d’abord, le premier document par Richard Müller reste le plus atypique de tous les autres documents. Surement surréaliste étant donné son