Vae bpjeps monovalent voile
Ce document sera loin d’être exhaustif. Il n’est pas question ici d’entrer dans la description de procédés complexes ou techniquement trop élaborés (tels que l’on peut les rencontrer parfois dans le domaine industriel).
Mais simplement de mettre l’expérience à la portée de tous afin d’éviter quelques erreurs et aventures malencontreuses qui peuvent parfois ruiner des dizaines d’heures de travail.
Exemple : - Matrice sans dépouille non démoulage. - Coque qui reste désespérément collée dans le moule. - Résine qui ne «prend» pas ou inversement qui se met à «fumer» (voire prendre feu) dans le pot........... Ne riez pas cela arrive plus souvent qu’on ne le croît .........
Tous les modèles thermiques de performance sont réalisés à partir de coques en composites; et dans notre vie quotidienne cette technique est maintenant universelle dans beaucoup de constructions d’engins sportifs ou technologiques de toutes sortes, de la carrosserie des voitures de compétition en passant par les coques de voiliers, racers et bateaux de plaisance...jusqu’à certaines pièces de fuselage et d’ailes d’avion (la dérive de l’Airbus est Kevlar Carbone Epoxy !)
Dans le domaine du modélisme, les composites sont utilisés depuis près de 30 ans, tant en avion qu’en bateau. Les maquettistes étant à ce jour parfois encore réticents à l’utilisation de ces produits.
Nous n’entrerons pas ici volontairement dans la construction d’un type précis de modèle ou de coque Il faut savoir qu’en adaptant quelque peu la technique de réalisation à l’objectif espéré, on arrive très facilement à travailler avec succès et efficacité sur un moulage de capot de quelques grammes, un moulage d’une coque de vedette ou de racer; ou un renforcement et marouflage d’un paquebot de deux mètre de long préalablement construit traditionnellement en bois.
Cela sans oublier les constructions, le montage, le renforcement, l’étanchéité non seulement des coques mais de tout