Valeur actionnariale
• Un critère d’évaluation.
• Un moteur du progrès économique et social.
• Une règle de décision d’arbitrage des politiques générales.
• Le but ultime de l’entreprise.
• Risquée pour les marché internationaux.
• Privilégiée par La théorie financière et dépend de la spéculation financière.
* A pour objectif de :
• Défendre les intérêts des actionnaires.
• Mesure la performance stratégique de l’entreprise.
• D’enrichir l’actionnaire, qui implique la prospérité de l’entreprise.
• Satisfaire les clients, les fournisseurs, les salariés et les collectivités.
• Maximiser la valeur des actions et les dividendes.
• Promeut l’efficience économique.
* Se décompose en deux modèles :
• Shareholder : la firme est responsable devant ses actionnaires.
• Stakeholder : Les parties prenantes demandent des comptes et la participation au partage de la valeur.
* Permet d’offrir :
• Aux actionnaires : une croissance rentable.
• Aux dirigeants : la capacité de rémunérer les prêteurs et couvrir le coût du capital.
• Aux clients : fournir des produits et des services de qualité au meilleur prix.
• Aux fournisseurs : un accroissement de la production à travers la hausse de leurs facturations.
• Aux salariés : des rémunérations et une sécurité de l’emploie.
• Aux collectivités : de généreuses contributions aux œuvres sociales et la réduction du chômage.
* Les mauvaises raison de la maximisation de la valeur actionnariale :
• Incompatibilité avec la rentabilité intrinsèque des groupes cotés.
• Horizon courter-miste et contraignant à la financiarisation croissantes des stratégies.
• Valorisation excessive du capital financier au détriment du capital humain.
• Encouragement de la spéculation plutôt que l’investissement industriel.
• Opposition de l’intérêt de l’actionnaire à l’intérêt social.
* L’actionnaire est souvent accusé de:
• Encourager la spéculation au